Par
Tchibouela Makosso
K2 : La dernière livraison du Billet Ba Ntu RA
vient de spécifier les deux faces du dieu d’Abraham, qu’il est souhaitable que
notre compréhension sur ce sujet en soit amplifiée. Que faut-il en dire davantage ?
K1 : En fait, à travers ces deux faces ou postures
apparait qu’une seule et unique constante : rendre l’Homme acteur du
projet du dieu d’Abraham…
K2 : Que faut-il y en entendre ?
K1 : La réalisation du projet du dieu d’Abraham ne
dépend que de l’adhésion des hommes à celui-ci. Ce qui implique l’expression du
libre-arbitre de ceux-ci. Et, il est important d’insister sur cette dimension
du libre choix. Et, c’est dans sa stratégie d’user le libre-arbitre des hommes,
c’est-à-dire, d’en obtenir d’eux de l’adhésion qu’apparait l’imposture du
projet du dieu d’Abraham…
En effet,
que ce soit pour le sacrifice d’Abraham ou pour le sacrifice de Jésus, on voit
bien tel que le montre l’article, qu’au final celui qui veut absolument que des
sacrifices soient offerts est lui-même le dieu d’Abraham. De plus, il est
encore celui qui présente l’objet ou sujet à sacrifier : Le bélier retenu
dans le buisson dont il dit à Abraham de sacrifier et Jésus censé être son
agneau qu’il offrit au Monde et que les Israélites tuèrent !
Dans les
deux cas, ce furent des Hommes qui exécutèrent librement les sujets à
sacrifier. Ils y exprimèrent sans contrainte leur choix, leur capacité du
libre-arbitre. Or, c’est cette seule et unique condition qui est recherchée
pour légitimer une démarche fut-il devant les Hommes ou le Monde divin. Dès que
remplie, cette condition ouvre automatiquement accès à la jouissance de droits
et le respect des devoirs afférents.
K2 : En somme, dans ces récits relatifs aux
sacrifices, le dieu d’Abraham veut nous montrer que ce sont des Hommes qui ont
librement écouté sa voix ?
K1 : Absolument. Ainsi, il pourrait espérer se
dédouaner de toute responsabilité quant aux conséquences des dits choix alors
effectués par des Hommes.
K2 : Est-ce condamnable ?
K1 : Le hic étant que des hommes qui ont opéré le
choix de suivre la voix du dieu d’Abraham l’ont aussi fait sous le coup d’un
certain dogmatisme et d’une méconnaissance de certaines réalités telles que le
sacrifice, l’ordre originel,…Ce hic fait ranger cette démarche du dieu
d’Abraham au rang des impostures. Elle devient de fait condamnable pour faux,
usage de faux, tromperie/mensonge, abus de faiblesse et de
crédulité/naïveté, …. Car, le libre-arbitre doit s’exprimer dans toute sa
plénitude en connaissance de cause.
K2 : Est-ce à dire, que les Hommes qui ont fait ce
choix peuvent bénéficier devant un Tribunal humain ou divin de circonstances atténuantes ?
K1 : Absolument. En sont exclus, ceux qui
SAVENT les tenants et les aboutissants du projet du dieu Abraham et qui se sont
évertués et continuent d’engranger des
âmes au service du dieu d’Abraham. C’est ainsi, LA JUSTICE.
K2 : Comment peuvent y échapper ceux qui sont
tombés dans le piège du dieu d’Abraham ?
K1 : Le dieu d’Abraham lui-même y montre la voie :
lorsqu’il emmène vers lui Abraham, il l’incite à se démarquer de l’autorité
suprême FUMU IMANI. Ainsi, imbu de la connaissance, LA VERITE sur le projet du dieu d’Abraham,
celui qui veut rompre avec ce dieu, Il lui suffit de renoncer à le suivre.
C’est cette Vérité-là, qui affranchit et affranchira quiconque à l’heure où
nous nous exprimons de la tutelle du dieu d’Abraham dans sa vie.
Aussi, il s’avère
utile de rappeler que, lorsque des hommes approuvent, reconnaissent ou
reproduisent le sacrifice d’Abraham, ils tuent le Totem du Dieu des Dieux, Fumu
IMANI (AMON/AMIN) et donc lui tournent le dos. Ce faisant, ils s’éloignent de
FUMU IMANI (AMON) et ils deviennent des Damnés
c’est-à-dire, des Êtres privés de la présence du Dieu des Dieux, FUMU IMANI (AMON/AMIN)
(cf. LE CHOC ! Première Synthèse/pp. 10 – 11).
De même,
lorsque les hommes approuvent et se reconnaissent à travers le sacrifice de
Jésus, ils s’assimilent à lui, en qui le dieu d’Abraham y a fait clouer les
attributs de l’ordre sociétal authentique. Le personnage de Jésus est telle une
figurine sur laquelle le dieu d’Abraham y a projeté les attributs sociétaux de l’Ordre
originel incarnés par FUMU U’KULU KAMA (Osiris), FUMU LIESOU (Horus), FUMU
DJAHOUATY (Thot), et MA KISISI (Le médicament de la Terre) ou KITISI (Le Siège
de la Terre) dite ISIS. De ce fait, ces hommes tournent le dos à l’ordre
sociétal originel.
K2 : Avant de nous rappeler les autres
traits du projet du dieu d’Abraham, on voit qu’en fin de compte, Jésus est un
personnage ambivalent. Est-ce le cas ?
K1 : Absolument. Le personnage de Jésus s’impose
dans la phase ultime du projet du dieu d’Abraham en une pièce clé : Il porte
l’espérance du dieu d’Abraham de clouer l’ANCIEN ET ORIGINEL ORDRE SOCIAL dans
le Monde des Hommes. Et, il joue le rôle de rabatteur des âmes au profit du
dieu d’Abraham en étant porteur d’une œuvre salvatrice pour l’Humanité. Dans
les deux cas, il se trouve au cœur d’une confrontation entre le mal et le bien.
Faire jouer la chose et son contraire permet à celui qui tire les ficelles dans
l’ombre d’espérer passer inaperçu et de ne point être démasqué.
K2 : Enfin, quels sont à titre de rappel, les
autres aspects du projet du dieu d’Abraham ?
K1 : Comme il fut démontré dans l’article, l’Ordre
du dieu d’Abraham est un Ordre de rébellion contre l’authentique et ORIGINEL
ORDRE QUI PARVINT INITIALEMENT AUX HOMMES (LE MONDE MU KAMA) SUR TERRE (A
TIKAMA), un Ordre de renversement des codes originels : Le Noir y est rabaissé
et Tikama y est rabaissé. Le berceau de l’Humanité, de la spiritualité et de la
civilisation y a été déporté hors du Monde Mu Kama et de Tikama.
En
conséquence, IL EST ATTENTATOIRE A TIKAMA ET AU MONDE MU KAMA D’INTEGRER L’ALLIANCE
ABRAHAMIQUE au travers de son Gang TBC (Torah, Bible, Coran) et associés (qui
reconnaissent l’autorité des 3 livres dont la Franc-maçonnerie).
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